Je suis a Vous.

ma Peau devient Sobre...
ma Chair pleure une humeur Sèche, Désertée...
mon Sang me vide de mes mots, ces être de Fleurs et d'Étoiles que j'Illumine et que j'abhorre...
je ne souhaite pas ce qui n'existe plus, je désir tout ce que je peux rendre existant... lui, elle, vous, moi, et des Pétales et des Pétales et des Souffles et des Souffles... tout votre Nectar, tout votre Pollen, toutes vos Roses... que vos corps, mais avec vos esprits, bref votre être... pas que d'une lune, mais de l'éternité. pas d'une Novae simple, pâle et courte, non... de quelque chose de gigantesque, d'une fusion entre ce qui ne devrait jamais finir et de ce qui ne devrait jamais vivre... tout ce que je désire, je n'obtiens rien de ce que j'angoisse a être, a avoir? je veux l'être, pas l'avoir, avoir pour avoir n'est rien si on le justifie pas avec l'être! je ne veux pas que votre être non plus... je veux vous, pour quelques instants, pour quelques moments, pour quelques heures seulement, souvent, tout le temps. pitié, je vous en conjure, supplie, peu importe! épargnez-moi de mon angoisse et de mes désirs si intenses et offrez-vous a moi, laissez-moi m'offrir a vous, je suis votre esclave, votre serviteur dévoué a vous tous, les luis, les elles, les vous. je suis enChainé et vous êtes les maitres de la Clé, je désire simplement que vous m'utilisiez, mais pas qu'une seule fois... je vais mourir sinon... la mort ne me fait pas peur, mais la perte de tous mes désirs oui... c'est tout pour moi, mais c'est vous. vous. vous. Je suis a Vous.

Reine

pour un simple instant,
qui Coule entre les murs de mon crâne,
qui fuit, fuit au loin,
j'y cours... mais elle est déjà Partie
je m'assis et j'attend : elle reviendra...
sa Chaleur toujours dans mon cerveau,
son Souffle, tendresse sur mes neurones...
quel angoisse du manque, du vide de sa présence...
je souhaite son énergie d'une ardeur maladive :
mes pensées, veineuses de l'effort,
de leur Course vers le lointain abysse
d'ou cette belle Féminine m'a laissé...
temporairement: elle revient toujours,
me Caresser, m'Embrasser, m'Enlacer, me faire l'Amour...
elle ne m'appartient pas, et ne m'appartiendra jamais.
elle ne pourrat etre qu'une Novae, Scintillante
et moi, que son Roi d'un vide Cramoisi, pour elle,
elle, de mon Univers, mes Paradis, ma Reine.

zero

there is nothing left of me... I am only Numbers to all... but its the middle, balance of parity, attraction of gravity, Minuses and Pluses, false Prophets and blind faith, billions of Them, blissing, blissing twilight of Truth, shame of morality, guilt of society, this Verse we set ablaze and on fire, those Dreams we keep on having, this life we stubbornly run over, these love we get on justifying, the sex we do everywhere, the breathing we draw, the fears, the hopes, the tears, the smiles, the Sounds, the Dust, the Warmth, the Blood ... all these sum to zero.

Time

...so Free... but so Bound... I Shine with all the bright Darkness around me, being me... I am the one that as Faced the Flames, the one that once Burned in their purifying Gaze, the one that braved the great Beyond, Below, and came Back with the Title of king, Gold, Blood, and a Rose... the Breath of the Dark stars is no longer a Chill to my bones, the Flames no longer a Sear to my skin... only the Ashes Shines upon the eclipse of my soul now, and that for evermore. my Sun gets Brighter by the hour, my Planet Soaking it up as it goes. the Forms are so simple, so distracting...their bliss are assaulting me everywhere, penetrating the tiniest Cracks of my Armor, my Shield unDeflective of their relentless attacks. I am in a Verse of my creation, and this Verse is based, fundamentally, upon these Forms... their extinction would mean the destruction of my Castle, since its Stones are made from the very Rock that this Verse created, Solidified. I must accept the Weight of their Past and use it as my own, absorbing all others in my Plasma, deaf-hearing their ignorant Pleas for bliss. their Shine is only limited by their own Laws, their own Flaws (to which the origin is still a mystery), but their purpose is far greater for those that do not Succumb to such small Obstacles... their Petals and Roots are delicious to me... ahh... Eye still Bleeds... Body aching for others, materialist... Mind still suffers its Birth, the Cell it built.... Soul Searing for Skies to Soar yet more, the Wingspan of my Heart... Being Screaming to be heard, ignored... Existence that doubts Fulfillment, loneliness... can such a Queen exist? can such an Existence be in this Verse? I still await the Shines of such a Being... in the meantime, I will remain in the Novaes of nothing more, and sometimes not even close, than Princesses... I want to be... for the next great Star... True... but hope is an illusion since All is connected, All is already done, only one Verse exist, only one Course, one View... I might or might not see this Star, nor even a glimpse of its Shine, and that would be the whole truth, the definitive of my life... all there is to do from here on, is to live the Fuel that remains of my Spirit, and let this grand, unwavering illusion of reality bend its undeniable grasp upon this Verse... Time.

Sunder

what I strive to be is what you do not See. I see all the true Light that is this deep Darkness. I am a prisoner of my own freedom. the white Flames that still burns me are now but no light; I shiver in their once so blissful presence. now they only serve the Cell of my Mind, torture to my infinite Spirit and so boundless to my Body. others try to forge themselves on me, but their hammers can not rend asunder the grand Armor of my wise reality, clear. even I still Bleed. My Planet shall suffer forevermore. none shall resist, none shall live. My Light has such Darkness, consuming the sun of my Being, sundering it naught, VOiD.

Sun

Soar through your Skies, fly and Drink the grandeur of its VOiD. go downward, to the abyssal Bottom of all, seek relentlessely what is being hidden from everyone as this Planet is the never ending of lies. they do not hurt, its the Light they hide that Blinds you! seek not the Brightness of their Purity, but what they beacon. let it not Burn you, little Moth of what you became, for you will force your very life to incandescently loose its own Shine, growing Cold. let not the Shadows Bleed you like the Thorns they are, rather take these Scars to strengthen your Flesh, use your very being into its suffering as to Erode all these prejudices and useless morals from your individual. accept your very existence and live the complete Sun that you are.

Crown/Couronne

of dark stars, instills of ignorance/d'étoiles sombres, souffles de l'ignorance
of white flames, strikes of void/de flammes blanches, frappes de néant
of golden ashes, shines of twilight/de cendres dorées, luminosités du

[crépuscule

Roi

comment un être d'autant de Lumière irradie-t-il son Ombre sur autant de Coeur? pourquoi mes lèvres se languissent-elles des siennes si mon ame n'est que fermée sur mon être? pourquoi autant d'Ombre alors? laissez moi tranquille Ténèbres. Rêve meilleur d'un monde endormi. de par mes Rayons j'inspecte les Membres de ma Monarchie, de mon Trône de Sang. de mes Ailes Vides mon corps est si lourd et mon ame déconstruite, abimée. l'une de feu blanc l'autre de néant, elles définissent l'Envergure de mon Coeur si fermé. de Noir et de Blanc, mes pensées sont autant un champ de guerre que celui dans le Monde dans lequel il est prisonnier. ma Couronne d'étoiles scintille son Or sur l'éclipse noire de mon ame perdue. les Abysses de mon esprit, noires, profondes et blessées, hantent les abîmes de mon Château. aucune Chaleur n'y règne et rien n'y survit mort, Vivant. rien de me diffère a présent, rien n'effondre les Pierres de mes Dogmes si vraies et immuables. je suis de ces Pierres et de ces Glaces. mon corps. mes lèvres si douces, farouches. mes mains si tendres, fermes. mon corps si Vide, Lourd. du haut de ma vie, siège de mon Monde, j'y suis le Soleil, le maître, le Roi.

Gone Angel

i am the ruler of this Verse
master of its universe
i am the Sun of my Planet
i Bleed Bleed my own repent
I Clay all of my people
i Bleed them Silent, grow them Cold
Shadows faded and Light now behold
i Survived and now li/ove, bold
lo! i now sit upon my Throne
my Castle built with many Stones
each engraved with Spines and Flowers
all thoughts, all Pains, my very Power
wearing my starlit Crown, gold, dripping
the Bleeding Rose, the Zero, praising
inside my mind, dark and light
angel and demon, black and white
my wings spawned from my Art
the wingspan of my heart
Eyes wide open, Smile grinning
I am the Crimson King.

le Pot

oh! grandes Ténèbres qui envahissent mon esprit, oh! petite fleur qui Germe ses Ronces dans le riche sol de mes pensées, qui affecte mon futur d'une telle Arrogance que même les Pénances ne saurrait m'en libérer. Infusée en moi, Infumée en mon être même, il en est le Roi et le Maître.

Fade

étrange Pulsion de Feu, nuisible? un grand Délire impassible, charismé. enveloppé de corps, de Matière si inerte. je prend une Ampleur et ma Couronne jadis si Dorée, ternie. comment de telles épines? pourquoi tant de Chaleur? trahi, Battu, tué. et pourtant toujours si Doux. Ambrose sur mon corps. mon But qui me définit s'abysse, Fade.

Liberté

Le seuil de la ridicule mécrance est plus loin dans l'ombre que la pire des pénances qui sont aussi vert de jalousie qu'une foret de conifère en hiver, contrastant sur la pureté adamante du plancher glacé, pellicule d'un ciel abyssal, fond de mer qui écoule son écume sur l'humus, fils des feux de maisons naturelles, abris des grands oiseaux qui réfutent la grande époque philosophique caressant un seul point : la liberté.

Vénus Impossible

tout le Miel de tes lèvres,
toute l'Eau de ta bouche,
tout l'Air de ton souffle,
toute la Douceur de tes yeux,
toute la Chaleur de ton corps,
toute l'Impossibilité de ta beauté,
tout l'Alcool de ton Parfum,

Vénus Impossible, tu me fais Souffrir
simple Pensée de toi me fait languir
tu occupes toute la place de mon Esprit
t'imaginant dans mes Bras, dans mon lit
je te ferais l'Amour toute la nuit
t'honorant et t'embrassant de suit
te trouvant belle d'aphrodite, d'Écume
l'espace de tes hanches, arôme que j'hume
que je m'Enivre de tes exhalaisons
l'Aether même de ma Divination
pouvoir te regarder dans toute ta Grâce
te Caressant, ton corps, ton âme
juste te Sentir tout près de moi
sans nu ni Barrières avec toi
nos Esprits appréciant les moments
le mien, le tien, les savourant
Vénus Impossible, tu me fais Souffrir.
si tu savais a quel point je te Désir...
tout ce que je recherche
toute l'intensité de tes Caresses
toute la Délicatesse de ton Regard
tout le bien être de ton Aura...
tout ce Mystère que je tolère...
Reine grecque de mes réflexions,
Sirène nageant dans les Glaces de mon esprit, ah..
Vénus Impossible, je t'ai tellement dit...
et pourtant qu'un fragment, qu'un morceau...mal écrit.

j'ai Froid

une Flamme sans Brûlure.
une Chaleur sans Humidité.
une Douceur sans Brutalité.
une Caresse sans l'Impur.

je serais doux, je serais patient.
j'attendrai Tout, j'attendrai le bon Moment
Couvre-moi et je t'Aiderai.
Aime moi et je t'Aimerai.

à la fin, la fin d'Aile

le Vol.
le Vent.
j'ai déployé mes Ailes et j'ai vogué des Vents qui se sont malheureusement perdus.
j'y ai trouvé Lumière, où j'ai allègrement Dansé, mais aussi l'Obscur, où j'ai Flétri.
j'ai essayé de combattre ses Vents, recherchant la Lune jadis Étincelante même d'un argent faux : en vain.
on aurais collé, posé des Nuages et mes Yeux se sont finalement fermé.
je retrouva Terre et m'y allongea.
mes Ailes me brûlaient de par et suintaient le Sang.
le temps passa et, subitement, la Nuit laissa place au Jour.
aux premiers contacts des rayons du Soleil, mes Ailes s'évaporèrent en un doux parfum de Liberté. enivré et serein, je m'assoupis enfin.
je ne me Réveillerais que lorsque d'autre Ailes me pousseront et qu'elles ne seront ni grises, ni noires.

la Rose

peur, Vertige, pleur, folie,
la cacophonie cocktailique
me maelstromise à la monstro.
l'Antigénese s'empare de ma voix.
les Profondeurs me déracine et
je flotte sur l'univers ténébreux.
et je ferme enfin les yeux.
pourtant, la lumière ne m'aveuglât qu'encore plus :
la Lumière que je fuyait, non celle que je souhaitait.
invoulu, devant moi, il n'y avait que l'Enfer,
avec à la main une Rose d'un rouge écarlate,
et la Mort a ses cotés, chantant ma Gloire.
Les Masques mascaradés rompirent comme le crystal
et les Secrets bien gardés éclatèrent, létal.
mes Sourires me fut lacérés de mes lèvres
et mes Larmes asséchés
jusqu'aux plus profondes abysses de mon âme.
alors, Poussière et Cendre se soulevèrent de nouveau...
...Et la Rose se mit enfin a Saigner.

VOiD / NéANT

Stricken by VOiD. / Frappé du NéANT.
Fleeing the OiD. / Retour vers l'Avant.
Zero, Praising. / Le Zéro en grand,
The Rose, Bleeding. / et la Rose, Saignants.

Phthonus

Tu me tues Minerve.
Ta lumière sombre,
voûte de mes rêves,
de pénombre elle m'éclaire.
De feu tu me guéris,
de glace tu m'irradies.
Tes ronces m'enlacent,
tes semonces m'écrasent.
Tes yeux de fenêtre
plus que mes rêves,
volent partout. Moi
je me meurs dans mes bras.
Toi, tu vas mais ne viens pas.
Quoi? Je cours, toujours.
Je m'épanche de froid.
Je te sue mon pain
mais tes fenêtres fades
s'en délectent, m'en rendent malade.
Ainsi je fonds de cascades,
façon pauvre de me soigner.
Mais dans quelques soleils,
finissant, émancipé du sommeil.
Au revoir triste Amour, va!
qu'un autre fleurisse tes pas.

Ciel

Je souffre et, comme lui, je m'embrase au contact de la flamme de ton aura. Tu est l'astre de mes nuits dont la lumiere eclaire autant mes reves que mes plus pires cauchemars. Ton souffle m'enlace et s'enfonce en moi. Ton regard me rafraichit lorsqu'il roule sur ma peau et me noie dans d'autant plus de torrents. Ton toucher apaise mes plus petites tensions et mes plus grandes aspirations.

Vivre

Marcher sur le chemin qu'emprunte les anges, l'arc-en-ciel des larmes.
Visiter là où tout est né et où tout retournera, l'infini blanc.
Voler au-dessus des champs de lumières dorées, les boucles d'Apollo.
Courir l'éternité a contre-temps, les ténebres de l'univers.
Chanter avec les furies d'Athéna, la force divine.
Danser avec les guides-hermites radieux, la gloire astrale.
Combattre les polarités antipodes multiverselles, le bien et le mal.
Fusionner avec les temps passés présents et futurs, la vie.

Come all come close to me;
let me heal you.
Come all come close to me;
let me kill you.

"Petit poème pour un ami qui en vaut la peine"

De mon meilleur ami a moi:

Te souviens-tu du temps ou nous nous sommes rencontrés
et que nous nous sommes lié d'amitié?

Ces temps là étaient de bon souvenirs
que je tiens a garder pour l'avenir

Tu es quelqu'un de formidable a connaitre
et je sais que tu continuera a l'etre

Espérons qu'un jour notre amitié sans limite
ne devienne pas qu'un simple mythe

Je te souhaite un tres joyeux noel
avec ton ange descendu du ciel


Ton ami devoué,

Marc-André

Now

Mein seele brennt.

Burn

The great, falling in its own blood,
in one giant flood,
unleashes his final might
as he dies in the resulting blight.

But his spirit does linger
as he gives birth to his little sister.
She pierces the dark night
with her pure, silvery light.

Pluie/Rain

Il pleut, c'est malheureux. / It rains, that's sad.
Il fait soleil, c'est bien pareil. / It's sunny, and as mad.

Cieux

Toi qui flotte haut vers le bleu ciel,
n'as tu peur de perdre tes ailes?
Toi qui embrasse les ouates d'azur,
comment reste-tu aussi pur?

Esclave soumis de liberté,
de rien tu est prisonnier.
Plane au dessus des oceans,
obéis a la loi du vent.

Chill

Winter's Moon


Glistening in the dark heavens
lies the brightess of all diamonds.
she is sought by oh so many,
all seeking her grand purity.

Unique form, one of those that seeks,
gently blows from the icy peaks.
Herself is as clear as crystal.
Her name, cold but soft, is Mistral.

She climbs high, step by step, upward,
where she gets all closer, onward,
she tries hard to grab but misses
to give it a thousand kisses.

Now all can enjoy the boon
of a chilly winter's moon.

Snow

Piece of Winter

They fall and fall all slowly / Ils tombent et tombent tout doucement
The sky is blooming / Le ciel est en fleur
The clouds are ripped away / Les nuages brisent et se couchent
The heavens are cold / Les cieux sont de glace
Eveything is white and blue / Tout scintille en bleu et blanc

Conquiert le monde

Les ténèbres s'illuminant, notre père
le feu, s'élève et distille l'aurore.
Fondu, l'or des cieux coulent sur les terres
et tout scintille comme l'anti-mort.

Baptisé dans la pluie de lumière,
tout est béni par le phénix du temps.
Alors que la mère prolifère,
détruire, ne font que les enfants.

C'est alors que le maître tombe dans son sang
et que dans un véritable raz-de-marée géant,
il dégage le reste de sa puissance
et meurt dans une dernière danse.

Mais, têtu, son esprit subsiste
et donne naissance à sa soeur.
De sa lumière d'argent quiète,
Elle perce la noirceur.

Et ainsi se passe une rotation,
précise comme une révolution.

Worst?

Falling with Grace

Falling toward the unique fatality, / Tomber vers l'unique fatalité,

is it really the worst of finalities? / est-ce la la pire des finalités?

Test Haiku

Mes cordes en demande, une pelotte me monte à la gorge.
Un chat en jailli.

Une pointe me perçe le coeur. Je sent se dernier rapetisser.
ça part et revient pour finalement aboutir à...

On ne le lit pas mais il se consulte très bien.
Il sont dur a avoir ces medecins.

Mon Phil

Suis-je le seul encore en vie?
Le seul qui voient ce monde pourrit?
Pourquoi les autres se laissent tuer?
Sont-ils tous autant zombifie?

Comment leur montrer la droiture?
Tous les liberer de l'impure?
Comment faire pour tous leur montrer
l'enfer d'illusions corporees?

Meme si on leur proposent utopie,
les illuminatis, eux, rient;
Ils savent que les gens ont trop peur
de changer d'habitude, de sueur.

L'ultime reponse a ces questions
vient que l'on est bien en sommeil.
On ne sait meme pas qu'on est con.
De toute facon, tout est pareil.

Vivre tout en dedans au futur
alors qu'on meurt d'une mort insure.