Crown/Couronne

of dark stars, instills of ignorance/d'étoiles sombres, souffles de l'ignorance
of white flames, strikes of void/de flammes blanches, frappes de néant
of golden ashes, shines of twilight/de cendres dorées, luminosités du

[crépuscule

Roi

comment un être d'autant de Lumière irradie-t-il son Ombre sur autant de Coeur? pourquoi mes lèvres se languissent-elles des siennes si mon ame n'est que fermée sur mon être? pourquoi autant d'Ombre alors? laissez moi tranquille Ténèbres. Rêve meilleur d'un monde endormi. de par mes Rayons j'inspecte les Membres de ma Monarchie, de mon Trône de Sang. de mes Ailes Vides mon corps est si lourd et mon ame déconstruite, abimée. l'une de feu blanc l'autre de néant, elles définissent l'Envergure de mon Coeur si fermé. de Noir et de Blanc, mes pensées sont autant un champ de guerre que celui dans le Monde dans lequel il est prisonnier. ma Couronne d'étoiles scintille son Or sur l'éclipse noire de mon ame perdue. les Abysses de mon esprit, noires, profondes et blessées, hantent les abîmes de mon Château. aucune Chaleur n'y règne et rien n'y survit mort, Vivant. rien de me diffère a présent, rien n'effondre les Pierres de mes Dogmes si vraies et immuables. je suis de ces Pierres et de ces Glaces. mon corps. mes lèvres si douces, farouches. mes mains si tendres, fermes. mon corps si Vide, Lourd. du haut de ma vie, siège de mon Monde, j'y suis le Soleil, le maître, le Roi.

Gone Angel

i am the ruler of this Verse
master of its universe
i am the Sun of my Planet
i Bleed Bleed my own repent
I Clay all of my people
i Bleed them Silent, grow them Cold
Shadows faded and Light now behold
i Survived and now li/ove, bold
lo! i now sit upon my Throne
my Castle built with many Stones
each engraved with Spines and Flowers
all thoughts, all Pains, my very Power
wearing my starlit Crown, gold, dripping
the Bleeding Rose, the Zero, praising
inside my mind, dark and light
angel and demon, black and white
my wings spawned from my Art
the wingspan of my heart
Eyes wide open, Smile grinning
I am the Crimson King.

le Pot

oh! grandes Ténèbres qui envahissent mon esprit, oh! petite fleur qui Germe ses Ronces dans le riche sol de mes pensées, qui affecte mon futur d'une telle Arrogance que même les Pénances ne saurrait m'en libérer. Infusée en moi, Infumée en mon être même, il en est le Roi et le Maître.

Fade

étrange Pulsion de Feu, nuisible? un grand Délire impassible, charismé. enveloppé de corps, de Matière si inerte. je prend une Ampleur et ma Couronne jadis si Dorée, ternie. comment de telles épines? pourquoi tant de Chaleur? trahi, Battu, tué. et pourtant toujours si Doux. Ambrose sur mon corps. mon But qui me définit s'abysse, Fade.

Liberté

Le seuil de la ridicule mécrance est plus loin dans l'ombre que la pire des pénances qui sont aussi vert de jalousie qu'une foret de conifère en hiver, contrastant sur la pureté adamante du plancher glacé, pellicule d'un ciel abyssal, fond de mer qui écoule son écume sur l'humus, fils des feux de maisons naturelles, abris des grands oiseaux qui réfutent la grande époque philosophique caressant un seul point : la liberté.

Vénus Impossible

tout le Miel de tes lèvres,
toute l'Eau de ta bouche,
tout l'Air de ton souffle,
toute la Douceur de tes yeux,
toute la Chaleur de ton corps,
toute l'Impossibilité de ta beauté,
tout l'Alcool de ton Parfum,

Vénus Impossible, tu me fais Souffrir
simple Pensée de toi me fait languir
tu occupes toute la place de mon Esprit
t'imaginant dans mes Bras, dans mon lit
je te ferais l'Amour toute la nuit
t'honorant et t'embrassant de suit
te trouvant belle d'aphrodite, d'Écume
l'espace de tes hanches, arôme que j'hume
que je m'Enivre de tes exhalaisons
l'Aether même de ma Divination
pouvoir te regarder dans toute ta Grâce
te Caressant, ton corps, ton âme
juste te Sentir tout près de moi
sans nu ni Barrières avec toi
nos Esprits appréciant les moments
le mien, le tien, les savourant
Vénus Impossible, tu me fais Souffrir.
si tu savais a quel point je te Désir...
tout ce que je recherche
toute l'intensité de tes Caresses
toute la Délicatesse de ton Regard
tout le bien être de ton Aura...
tout ce Mystère que je tolère...
Reine grecque de mes réflexions,
Sirène nageant dans les Glaces de mon esprit, ah..
Vénus Impossible, je t'ai tellement dit...
et pourtant qu'un fragment, qu'un morceau...mal écrit.

j'ai Froid

une Flamme sans Brûlure.
une Chaleur sans Humidité.
une Douceur sans Brutalité.
une Caresse sans l'Impur.

je serais doux, je serais patient.
j'attendrai Tout, j'attendrai le bon Moment
Couvre-moi et je t'Aiderai.
Aime moi et je t'Aimerai.

à la fin, la fin d'Aile

le Vol.
le Vent.
j'ai déployé mes Ailes et j'ai vogué des Vents qui se sont malheureusement perdus.
j'y ai trouvé Lumière, où j'ai allègrement Dansé, mais aussi l'Obscur, où j'ai Flétri.
j'ai essayé de combattre ses Vents, recherchant la Lune jadis Étincelante même d'un argent faux : en vain.
on aurais collé, posé des Nuages et mes Yeux se sont finalement fermé.
je retrouva Terre et m'y allongea.
mes Ailes me brûlaient de par et suintaient le Sang.
le temps passa et, subitement, la Nuit laissa place au Jour.
aux premiers contacts des rayons du Soleil, mes Ailes s'évaporèrent en un doux parfum de Liberté. enivré et serein, je m'assoupis enfin.
je ne me Réveillerais que lorsque d'autre Ailes me pousseront et qu'elles ne seront ni grises, ni noires.

la Rose

peur, Vertige, pleur, folie,
la cacophonie cocktailique
me maelstromise à la monstro.
l'Antigénese s'empare de ma voix.
les Profondeurs me déracine et
je flotte sur l'univers ténébreux.
et je ferme enfin les yeux.
pourtant, la lumière ne m'aveuglât qu'encore plus :
la Lumière que je fuyait, non celle que je souhaitait.
invoulu, devant moi, il n'y avait que l'Enfer,
avec à la main une Rose d'un rouge écarlate,
et la Mort a ses cotés, chantant ma Gloire.
Les Masques mascaradés rompirent comme le crystal
et les Secrets bien gardés éclatèrent, létal.
mes Sourires me fut lacérés de mes lèvres
et mes Larmes asséchés
jusqu'aux plus profondes abysses de mon âme.
alors, Poussière et Cendre se soulevèrent de nouveau...
...Et la Rose se mit enfin a Saigner.

VOiD / NéANT

Stricken by VOiD. / Frappé du NéANT.
Fleeing the OiD. / Retour vers l'Avant.
Zero, Praising. / Le Zéro en grand,
The Rose, Bleeding. / et la Rose, Saignants.

Phthonus

Tu me tues Minerve.
Ta lumière sombre,
voûte de mes rêves,
de pénombre elle m'éclaire.
De feu tu me guéris,
de glace tu m'irradies.
Tes ronces m'enlacent,
tes semonces m'écrasent.
Tes yeux de fenêtre
plus que mes rêves,
volent partout. Moi
je me meurs dans mes bras.
Toi, tu vas mais ne viens pas.
Quoi? Je cours, toujours.
Je m'épanche de froid.
Je te sue mon pain
mais tes fenêtres fades
s'en délectent, m'en rendent malade.
Ainsi je fonds de cascades,
façon pauvre de me soigner.
Mais dans quelques soleils,
finissant, émancipé du sommeil.
Au revoir triste Amour, va!
qu'un autre fleurisse tes pas.

Ciel

Je souffre et, comme lui, je m'embrase au contact de la flamme de ton aura. Tu est l'astre de mes nuits dont la lumiere eclaire autant mes reves que mes plus pires cauchemars. Ton souffle m'enlace et s'enfonce en moi. Ton regard me rafraichit lorsqu'il roule sur ma peau et me noie dans d'autant plus de torrents. Ton toucher apaise mes plus petites tensions et mes plus grandes aspirations.

Vivre

Marcher sur le chemin qu'emprunte les anges, l'arc-en-ciel des larmes.
Visiter là où tout est né et où tout retournera, l'infini blanc.
Voler au-dessus des champs de lumières dorées, les boucles d'Apollo.
Courir l'éternité a contre-temps, les ténebres de l'univers.
Chanter avec les furies d'Athéna, la force divine.
Danser avec les guides-hermites radieux, la gloire astrale.
Combattre les polarités antipodes multiverselles, le bien et le mal.
Fusionner avec les temps passés présents et futurs, la vie.

Come all come close to me;
let me heal you.
Come all come close to me;
let me kill you.

"Petit poème pour un ami qui en vaut la peine"

De mon meilleur ami a moi:

Te souviens-tu du temps ou nous nous sommes rencontrés
et que nous nous sommes lié d'amitié?

Ces temps là étaient de bon souvenirs
que je tiens a garder pour l'avenir

Tu es quelqu'un de formidable a connaitre
et je sais que tu continuera a l'etre

Espérons qu'un jour notre amitié sans limite
ne devienne pas qu'un simple mythe

Je te souhaite un tres joyeux noel
avec ton ange descendu du ciel


Ton ami devoué,

Marc-André

Now

Mein seele brennt.

Burn

The great, falling in its own blood,
in one giant flood,
unleashes his final might
as he dies in the resulting blight.

But his spirit does linger
as he gives birth to his little sister.
She pierces the dark night
with her pure, silvery light.

Pluie/Rain

Il pleut, c'est malheureux. / It rains, that's sad.
Il fait soleil, c'est bien pareil. / It's sunny, and as mad.

Cieux

Toi qui flotte haut vers le bleu ciel,
n'as tu peur de perdre tes ailes?
Toi qui embrasse les ouates d'azur,
comment reste-tu aussi pur?

Esclave soumis de liberté,
de rien tu est prisonnier.
Plane au dessus des oceans,
obéis a la loi du vent.